“Car d’aucuns pourraient croire qu’il n’y a aucune vie entre les matchs, que le stade se rendort paisiblement attendant peut-être un entraînement ou deux, mais guère plus.
Il n’en est rien : le stade est un véritable microcosme où, en plus des joueurs, différents habitants, différents métiers, s’affairent à un entretien méthodique, veillent à ce que l’herbe soit belle, les lieux accueillants, les lignes bien blanches.
Et des lignes blanches, dans ce stade, il y en a beaucoup. “
Extrait de la post-face du livre par Laurence Pauliac, historienne d’arts.